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Événement au Burkina
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Article 2.1.1 :
KOUMI
KOUMI, chaque année s'y déroule de grandes fêtes traditionnelles animistes, au cours desquelles sortent le grand masque, aux formes géométriques, représentant les animaux protecteurs du village. On n'y verra aussi les curieux ateliers des vannières, creuser dans le sol comme des terroirs. Koumi se trouve vers Bobo.
Article 2.1.2 :
Au campement de Boromo
à Boromo, le peuple Ko animistes, organise périodiquement de grandes fêtes traditionnelles. À la saison sèche notamment pendant le mois d'avril à juin et en octobre novembre, les Ko sortent en effet, les grands masques à lames ainsi que des masques zoomorphes représentant le lièvre, l'antilope cheval le poisson la gazelle le crocodile mais aussi la Lune.
Article 2.1.3 :
Dodo carnaval de Ouagadougou
Chaque année à la fin du ramadan , le carnaval le dodo, terme d'origine houassa signifiant monstre. Le dodo est né d'une légende originaire du Nigéria, on raconte que vers le XVIIe siècle, un vendredi pendant la période du ramadan, un homme décida d'aller chasser, bien que le Coran interdit la chasse. Il tua un animal et fut transformée en un être hybride homme à tête d'animal, en guise de punition. Les membres de son village partir à sa recherche et le trouvèrent et furent effrayés par son aspect repoussant. Cependant ils le ramenèrent parmi eux et espérant obtenir la clémence de dieu, le promenèrent tous les soirs, de concession en concession. Le rite alors repris à chaque période de ramadan.
C'est vers 1800 que les commerçants houassa introduisirent cette tradition sur le territoire du Burkina Faso actuel. Ainsi pendant la durée du ramadan, les jeunes gens prirent l'habitude de se déguiser en dodo, avec un masque représentant un animal, pour implorer la mansuétude de dieu. Ces déambulations de cours en cours étaient accompagnées de joueurs de tam-tam et d'autres musiciens qui ponctuaient les pas du dodo.
Article 2.1.4 :
Jour fériés
les jours fériés coïncident soit avec des fêtes civiles, soit avec des fêtes religieuses musulmanes ou chrétiennes 1er janvier, 8 mars, 1er mai, quatre et 5 août, 15 octobre, 11 décembre, ramadan, aid el-Kébir, Mouloud commémoration de la naissance du prophète, Noël, lundi de Pâque
Ascension, Assomption et toussaint. Par ailleurs, un certain nombre de fêtes traditionnelles se déroulent chez les peuples qui ont souvent gardé des croyances animistes.
fête nationale des jours fériés
outre les célébrations d'événements nationaux presque toutes les fêtes chrétiennes et musulmanes sont déclarées jours fériées. Si une fête légale tombe un dimanche, le lendemain est férié.
Le 27 juin 2000 l'assemblée nationale a décidé de réduire le nombre de jours chômés et ce sont le 4 août avènement de la révolution en 1983 et le 15 octobre assassinat du chef de l'État Thomas Sankara, dernier vestige de la révolution ont été rayés du calendrier des jours fériés.
Jour férié et officiel à la date fixe
1er janvier nouvel an.
3 janvier commémoration du 3 janvier 1966 lorsque maurice Yameogo fut contraint de démissionner de la présidence sous la pression des syndicats et des étudiants
8 mars journée international de la femme seuls pays au monde à avoir déclaré cette journée chômée, à la fin de bien signifier l'importance des femmes dans la société burkinabé.
1er mai fête du travail.
5 août proclamation de l'indépendance en 1960.
15 août assomption.
1er novembre Toussaint s'est aussi le jour de la fête de l'armée.
11 décembre jour de la célébration de la fête nationale commémoration-là la programmation de l'indépendance qui eut lieu le 5 août 1960. Cette bizarrerie explique ainsi la fête devait revêtir tous les faces dues à cet événement d'importance majeure. Or au mois d'août en plein hivernage, la population, et cela essentiellement paysanne est occupé par les cultures.
La fête chrétienne
25 décembre Noël.
Jours fériés et chômés dont la date est mobile
dimanche et lundis de Paques:
jeudi de l'Assomption à la ville n'est plus un jour férié ou pour la sou réduction des jours chômés terminés à le fut finalement décidé que seul le lundi de Pentecôte
fête musulmane
Mouloud
le ramadan
Tabaski
Article 2.1.5 :
Les fêtes rituelles
Les fêtes rituelles ont souvent un lien essentiel avec la terre. Elle apporte et elle représente un grand respect. Elle contient le corps de tous les ancêtres et nourrit son peuple. Elle symbolise la féminité.
Lorsqu'on s'installe sur une nouvelle parcelle on fait des sacrifices et délibérations. Souvent avant de commencer à pouvoir, on verse quelques gouttes sur le sol en disant pour les ancêtres. En général les fêtes rituelles ont lieu entre février et avril lorsque les travaux de récolte et d'embranchements sont terminés et que les taches artisanales ne peuvent plus être pratiquées à cause de la saison sèche.
Une ou plusieurs cérémonies rituelles ont lieu chaque année, à fin mai ou début juin, avant la saison des pluies. Les rituels les plus courants sont ceux destinés aux divinités de la Terre. Lorsqu'un habitant du village ne peut pas participer à la fête, il place les offrandes promises durant l'année écoulée. Le sacrifice est propre à chaque village est peut-être dans un bois, une colline ou tout autre endroit.